Glossaire

Type d’énergie hydraulique où l’eau est stockée dans un réservoir surélevé. Lorsqu’on a besoin de produire de l’électricité, l’eau est relâchée dans la conduite forcée.

Structure de dérivation d’eau qui canalise l’eau d’un cours d’eau naturel et la détourne vers la turbine.

Un conduit d’eau qui est droit ou courbé (en fonction de l’installation de la turbine). L’aspirateur maintient une colonne d’eau entre la sortie de la turbine et le niveau d’eau en aval.

Un petit barrage construit sur un ruisseau ou une rivière, qui modifie les caractéristiques du flux d’eau. 

Un bassin de retenue ou un réservoir situé directement au-dessus d’un barrage ou d’une structure d’admission dans une centrale hydroélectrique. 

Plan d’eau causé par une structure obstruant l’écoulement (c.-à-d., un barrage)

Un canal qui éloigne l’eau d’un barrage.

Réduire la production dans une unité de production (c’est-à-dire, ajuster/arrêter les opérations) en réponse à la demande du marché ou aux exigences opérationnelles.

Barrières à coulisse ou autres dispositifs de maîtrise du débit d’eau.

La quantité maximale d'électricité qui peut être fournie à un moment donné. La capacité est exprimée en watts (W) ou en multiples de watts : Kilowatts (kW) : 1 000 watts Mégawatts (MW) : 1 million de watts Gigawatts : 1 milliard de watts

La capacité d’une centrale hydroélectrique à ajuster sa production au fil du temps.

Un mode de fonctionnement pour une centrale électrique où l’énergie est produite uniquement pendant les périodes de demande de pointe.

La quantité d’une ressource énergétique précise. 

Une économie qui ne produit pas d’émissions de GES ou qui compense ses émissions (par exemple, en plantant des arbres ou en utilisant des technologies qui peuvent capturer le carbone avant qu’il ne soit libéré dans l’air).

Structure d’une installation hydroélectrique abritant des générateurs et des turbines.

Un système de deux réservoirs qui ne sont pas connectés à des sources d’eau naturellement en mouvement.

Deux réservoirs qui sont continuellement connectés à des sources d’eau qui s’écoulent naturellement.

Généralement a une capacité maximale entre 10 MW et 100 MW.

Les centrales électriques sont exploitées pour aider à équilibrer les besoins fluctuants en énergie du réseau électrique.

Quantité d’électricité fournie ou requise à un ou plusieurs points précis d’un système.

La charge hydraulique est une valeur qui mesure la quantité d’énergie mécanique disponible dans l’eau d’un fleuve, d’un cours d’eau ou même d’un lac.   La mesure de la quantité d’énergie mécanique disponible dans une source d’eau (c’est-à-dire, un fleuve ou un lac)

Équipement hydroélectrique (c’est-à-dire les turbines) conçu pour tenir compte de l’effet biologique direct ou indirect de l’équipement sur les poissons et d’autres types d’espèces aquatiques. 

Une structure pour transporter de l’eau (c’est-à-dire des canaux, des tunnels ou des pipelines)

Grosse conduite dans une centrale hydroélectrique qui transporte l’eau du réservoir vers une turbine.

Volume d’eau (mesuré en pieds cubes ou en mètres cubes par seconde), passant par un point pendant une période donnée. 

Mesure de la quantité et de la qualité de l’eau nécessaire à un écosystème particulier (c’est-à-dire une rivière, un ruisseau ou un lac) pour rester en bonne santé et durable. 

Le taux de consommation d’électricité utilisée à un instant donné sur une période précise.

Installation utilisée pour détourner une partie d’une rivière à travers un canal ou une conduite forcée.

Partie d’un barrage permettant d’évacuer l’eau en excédent vers la zone en aval. 

Une vanne qui fonctionne pour maîtriser le flux d’eau vers un générateur, ce qui contrôle la quantité d’énergie que le barrage est capable de produire.

Marque la dernière étape de la livraison de l’électricité aux clients. Les systèmes de distribution transportent l’électricité du poste d’arrivée aux consommateurs. 

L’eau directement en aval d’une centrale électrique ou d’un barrage. 

Une structure en forme d’échelle, composée de pentes et de bassins en escalier, pour permettre aux poissons de remonter en toute sécurité le courant, en les détournant des projets hydroélectriques.

La libération intermittente d’eau à travers les turbines pour répondre aux demandes de pointe en énergie, entraînant des fluctuations dans le débit de l’eau en aval. 

Électricité produite par les installations de production nécessaire pour maintenir la fiabilité du système de transmission. 

Le processus de remplacement de la technologie qui fonctionne avec des combustibles fossiles (c’est-à-dire, le charbon, le pétrole et le gaz naturel) par des technologies qui utilisent l’électricité comme source d’énergie. 

Réduire la consommation de combustibles fossiles, tout en augmentant notre utilisation d’électricité provenant de sources renouvelables et non émettrices. 

L’énergie générée par une centrale électrique (mesurée en millions de watts-heures, MWh) et consommée par un client (mesurée en milliers de watts-heures, kWh).

Une source d’énergie qui, en raison d’un facteur externe (par exemple, le vent ou le soleil), n’est pas disponible en continu. 

Énergie qui, lorsqu’elle est produite ou utilisée, ne libère pas ou peu de gaz à effet de serre ou de pollution particulaire dans l’atmosphère terrestre.

Énergie dérivée d’un processus naturel qui est régénéré à un taux égal ou plus rapide que le taux de consommation.

Perte ou défaillance d’un composant du système électrique (c’est-à-dire une ligne de transport), ou la perte ou la défaillance d’un équipement individuel (c’est-à-dire un générateur ou un transformateur).

La capacité du système électrique ou de l’unité individuelle à répondre rapidement aux augmentations ou aux diminutions de l’offre et de la demande. 

La partie de la turbine qui tourne, convertissant l’énergie de l’eau qui tombe en énergie mécanique. 

Émissions produites lors de la combustion des hydrocarbures (c’est-à-dire, le gaz naturel et le pétrole). Les GES contribuent aux changements climatiques et comprennent le dioxyde de carbone, le méthane et l’oxyde nitreux.

Une machine électromécanique qui convertit l’énergie mécanique (généralement de la vapeur, de l’eau, du gaz brûlé, du vent) en énergie électrique.   

Centrales électriques qui produisent un approvisionnement en électricité constant et régulier 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Type d’hydroélectricité moins répandue : une turbine est placée dans le lit d’un fleuve ou dans une zone de marées afin de capter directement l’énergie de mouvement de l’eau.

L’hydroélectricité est le processus de conversion de l’énergie cinétique (énergie du mouvement) sous forme d’eau qui tombe ou qui coule en énergie mécanique (l’énergie cinétique fait tourner les pales d’une turbine), puis en énergie électrique (dans ce cas, l’hydroélectricité).

Type d’installation hydroélectrique où l’eau d’une rivière s’écoule directement dans la conduite forcée.

Un projet hydroélectrique conçu, construit et exploité dans le but d’équilibrer les objectifs sociaux, environnementaux et économiques à plusieurs échelles géographiques (c’est-à-dire nationale, régionale, du bassin et du site). L’hydroélectricité durable internalise tous les avantages et coûts environnementaux et sociaux de manière à fournir des avantages nets à long terme aux propriétaires publics des ressources.

Une nouvelle technologie qui utilise les courants de marée ou la puissance des vagues pour produire de l’électricité.

Mille watts et l’unité commerciale de mesure de la puissance électrique. Un kilowatt est le débit d’électricité nécessaire pour allumer dix ampoules de 100 watts.

Mille watts utilisés pendant une période d’une heure.    Le kilowattheure est l’unité de base de mesure de l’énergie électrique.

Un câble ou un autre conducteur qui transfère l’électricité d’un endroit à un autre. 

Un million de watts ou mille kilowatts    Les mégawatts sont souvent utilisés pour mesurer la capacité des centrales électriques et le taux de livraison d’énergie.

Catégorie : Production d’hydroélectricité très faible    Capacité maximale inférieure à 100 kW, utilise le débit naturel de l’eau pour produire de l’hydroélectricité.

Énergie perdue lors du débit d’eau, lorsque l’eau se déplace des eaux d’amont aux eaux d’aval d’un barrage.

Capacité maximale de moins de 10 MW, dans le cours d’eau ou la rivière, un barrage est nécessaire. 

La section d’un cours d’eau naturel située entre l’entrée et la dérivation où tout le débit s’écoule généralement depuis le déversoir. 

Le point de terminaison à la fin d’un système de transmission, qui convertit les tensions de transport en tensions de distribution aux fins de la distribution aux clients.

Les exigences de charge anticipées auxquelles un système électrique devra répondre. 

Une entité qui ne fonctionne pas en tant qu’entreprise de services publics, mais qui possède et exploite des installations utilisées pour produire de l’électricité (c’est-à-dire, l’hydroélectricité) 

Une source d’énergie électrique (c.-à-d., hydroélectrique).

La quantité d’électricité qu’un générateur produit sur une période donnée. 

Systèmes de production d’énergie qui sont petits, connectés au réseau et construits à proximité de la charge qu’ils alimentent.

Sources d’électricité dont la production électrique est réglable à la demande par les opérateurs du réseau électrique. 

La quantité minimale d’énergie requise par un système électrique sur une certaine période. 

Le taux de livraison d’électricité (mesuré en watts ou en millions de watts [MW]).

La quantité de puissance installée sur laquelle on peut compter pour produire de l’électricité.

Quantité maximale d’électricité que peut produire un générateur (ou une centrale, ou un groupe électrogène).

Processus de remise en service d’une centrale électrique ou d’une partie d’un réseau électrique sans dépendre du réseau de transmission d’électricité externe pour se remettre d’une panne totale ou partielle.

Dans un cours d’eau naturel, on retrouve l’ampleur, la durée, le moment, la saisonnalité et le taux de variation des débits.

L’expansion, la mise à niveau et l’amélioration de l’efficacité des installations hydroélectriques actuelles.

Opération de l’unité de production dans un système électrique à un certain niveau de production pour répondre à la demande d’électricité et produire de l’énergie au coût le plus faible possible.

Capacité à augmenter ou diminuer la production afin de maintenir la fréquence du système.

Capacité disponible pour fournir des services de stabilisation rapidement et en temps réel.

Capacité supplémentaire disponible pour s’adapter à la variabilité et à l’incertitude de la charge.

Capacité supplémentaire non connectée au système, mais pouvant être mise à disposition pour répondre à la demande dans un délai précis.

Capacité rapidement disponible des unités de production. Ces unités de production fonctionnent en dessous de leur capacité.

Un plan d’eau qui a été créé derrière un barrage dans une centrale hydroélectrique.

Un réservoir construit en aval d’une centrale hydroélectrique de pointe, qui a la capacité de stocker les déversements fluctuants et de les libérer en fonction des besoins en débit environnemental.

Une source d’énergie renouvelable qui fluctue en raison de circonstances naturelles, sans maîtrise de l’opérateur (c’est-à-dire le vent et le soleil)

Partie intérieure rotative d’un générateur composée d’une série d’enroulements qui entourent les pôles inducteurs. Partie intérieure d’un générateur qui tourne.

Services utilisés pour garantir le bon fonctionnement du système électrique. Même s’ils représentent une part relativement faible de l’ensemble des coûts du système énergétique, ils constituent une partie essentielle du système électrique global. Les exemples comprennent des installations certifiées de redémarrage à froid, des services de régulation et des réserves opérationnelles.

La capture de l’énergie produite à un moment donné pour une utilisation ultérieure, afin de réduire la demande d’énergie et les déséquilibres de production d’énergie. Les exemples de stockage d’énergie comprennent les batteries et l’hydroélectricité par pompage.

Un système hydroélectrique qui utilise un barrage pour stocker de l’eau dans un réservoir. En libérant l’eau du réservoir, en faisant passer l’eau à travers une turbine, en activant un générateur, de l’électricité est produite.

Une structure située sur ou près d’un barrage qui permet le passage des poissons migrateurs. 

La capacité d’une centrale hydroélectrique à ajuster la production d’électricité en fonction des fluctuations de la demande tout au long de la journée.

Comprend tous les éléments nécessaires pour produire, transmettre et distribuer de l’énergie aux consommateurs finaux. Cela comprend, sans toutefois s’y limiter, les générateurs, les éléments du système de transmission et de distribution, ainsi que les composants de poste.

Augmentations ou diminutions de la vitesse des flux provenant de la centrale électrique vers les eaux d’aval, et enfin en aval.

Unités de pompe et de turbine qui fonctionnent à une vitesse constante.

Machines utilisées dans la production d’hydroélectricité qui peuvent ajuster la puissance consommée par les pompes ou générée par les turbines, offrant ainsi aux opérateurs plus de flexibilité.

La pression dans un circuit électrique pour provoquer le flux d’énergie (mesurée en volts et en milliers de volts, kV).

Un appareil qui transforme le courant alternatif (CA) en une tension élevée ou basse. 

Utiliser les capacités numériques pour résoudre non seulement les défis traditionnels de l’hydroélectricité, mais aussi ouvrir l’accès à de nouvelles occasions dans l’industrie de l’hydroélectricité.

Composantes de l’infrastructure d’un projet hydroélectrique (c.-à-d., barrages, conduites, centrales électriques, tunnels et conduites forcées).

Une machine contenant une roue ou un rotor. Lorsque de l’eau à débit rapide traverse la turbine, la roue ou le rotor tourne, générant de l’hydroélectricité.

Turbines qui utilisent de faibles pressions provenant des flux sortants pour induire des flux d’air supplémentaires.

Une barrière qui régule l’eau libérée d’un réservoir alors qu’elle s’écoule vers l’unité de production d’électricité.

Dans la plage entre la production minimale et maximale, cela peut avoir un effet dégradant sur l’équipement de l’usine (c’est-à-dire les vibrations).